Présentation

Après l’obtention d’un DUT en Génie Biologique, option Analyses Biologiques et Biochimiques, en 2011, Gwenn Le Meur reçoit en 2015 son Master en Biologie et Santé Humaine, à l’université de Nantes. A la suite de ses études, elle a directement rejoint l’équipe de recherche de Matias Simons au sein de l’institut Imagine en tant qu’ingénieure d’études, afin d’étudier le rôle d'une mutation génétique pour le récepteur nucléaire HNF4 associé au syndrome réno-tubulaire de Fanconi, en utilisant la drosophile comme organisme modèle.