« C’est la première fois depuis que je fais des dons à des associations que j’ai vraiment la sensation d’apporter quelque chose d’utile »

Pascale Cordier a décidé de soutenir Imagine. Déouvrez son témoignage.

Publié le 16.12.2019

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  • Témoignage

Notre famille est concernée directement par un problème génétique pour lequel il n’y a pas de solution aujourd’hui.  Alors mon mari et moi avons pris la décision de soutenir la recherche.

Suite à une longue réflexion, mais également à une analyse des différents moyens de soutien, notre choix s’est finalement porté sur l’Institut Imagine. L’alliance de la recherche et de la médecine pour agir directement sur les maladies a vraiment compté dans notre décision. Je ne crois pas qu’il existe aujourd’hui d’autres instituts fonctionnant de la même manière : c’est exceptionnel. Il se trouve que j’ai également la chance de connaître un médecin chez Imagine avec qui j’ai longuement échangé et qui m’a conforté dans le sérieux des travaux qui y sont menés.

 Aujourd’hui, nous sommes complètement satisfaits de notre choix. A tel point que c’est la première fois depuis que je fais des dons à des associations que j’ai vraiment le sentiment de faire quelque chose d’utile. Je ne suis pas juste un chèque, j’apporte ma pierre à l’édifice et cela change tout !

Lors d’une rencontre organisée chez Imagine avec les donateurs, le témoignage d’une maman face à l’inconnu de la maladie de sa petite fille m’a particulièrement frappé. Imagine lui a d’abord redonné de l’espoir en étudiant profondément son cas. Puis grâce à des techniques de pointe et un accompagnement constant, l’institut lui a apporté un diagnostic. Une lumière face à la détresse ! C’est cela qui me touche dans le travail de l’Institut Imagine : des médecins et chercheurs remarquables proposant un accueil, une écoute et une réponse face à la solitude et l’isolement de familles.

Enfin, je crois que la force d’Imagine c’est son équipe ! Accessible à tous les niveaux, dynamique, jeune et complètement investie pour vaincre les maladies génétiques. On y sent une véritable union, ce n’est pas le patron d’un côté et la Fondation de l’autre. Et ça, pour moi c’est fondamental.  

 Pascale Cordier

 

Pascale Cordier